Quintessence des activités de montagne, l’alpinisme hivernal demande d’avoir déjà une bonne pratique de l’escalade, de la cascade de glace, du ski de montagne et bien sur de l’alpinisme estival.
L’adaptation est le maitre mot pour ces périodes qui peuvent être changeantes. C’est souvent au mois de mars que l’on trouve le plus gros potentiel de possibilités.
La priorité pourra être mise sur l’ascension de goulottes, de courses d’arête ou d’escalades mixtes entre neige, glace et rocher. Les conditions du moment détermineront le choix des ascensions.
Voici quelques exemples de courses effectuées ces dernières années:
Râteau ouest, traversée des Demoiselles (pic de la Grave à la pointe Dosia), traversée des arêtes de la Taillante, différentes voies en face nord du pic de la Font Sancte et du massif de Chambeyron, goulottes du massif du Mont Blanc dans les secteurs du Géant ou d’Argentière.
De plus grandes courses sont aussi envisageables mais cela nécessite que nous fassions connaissance au préalable sur des courses de moindre envergure.